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Lundi - vendredi ( 9h00 - 20h30 )

DES en Gastroentérologie et Endoscopie digestive

DR. JUAN AMARIS

 

 

Le Docteur Juan Amaris est gastro-entérologue et endoscopiste exerçant en établissement privé à Paris.

La spécialité du Docteur Amaris
est l’appareil digestif, son fonctionnement, ses pathologies et le traitement des organes qui le constituent. Il est notamment spécialiste des maladies hépatobiliaires et bilio pancréatiques à savoir les maladies du foie, de la vésicule et des voies biliaires, les maladies du pancréas et de la rate.

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Adresse du Cabinet

34, Avenue d'Eylau -75116 - Tél : 01 47 27 02 54
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Horaires d'ouverture secrétariat

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EXPERTISES

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Gastro-entérologie

La gastro-entérologie est une discipline médicale qui concerne l'ensemble de l'appareil digestif, les intestins mais aussi le foie, les voies biliaires, le pancréas, etc
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Endoscopie interventionnelle

Le terme Endoscopie est un terme générique, qui signifie "regarder à l'intérieur ». Si ces examens donnent lieu à des petites interventions par exemple une exérèse de lésions alors on appelle ça de la fibroscopie interventionnelle .
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Coloscopie

La coloscopie est un examen du colon, grâce à une fibre optique souple qui par le biais d'une caméra permet de visualiser sur un écran vidéo la paroi interne de cet organe.
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Hépatologie

L'hépatologie est une spécialité médicale branche de la gastro-entérologie qui étudie le fonctionnement et les maladies du foie et des voies biliaires.
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Fibroscopie

Tous les examens endoscopiques sont réalisés grâce à une fibre optique souple (fibroscopie) qui par le biais d'une caméra permet de visualiser sur un écran vidéo tout ou partie de l'organe concerné par cette endoscopie.

Organiser un repas de fête adapté aux allergies alimentaires : les conseils d’un expert

Les repas de fête sont souvent synonymes de convivialité et de partage, mais ils peuvent aussi devenir un véritable casse-tête pour les hôtes lorsqu’il s’agit de prendre en compte les allergies et intolérances alimentaires des invités. Selon le Dr Juan Amaris, gastro-entérologue, il est tout à fait possible de concilier gastronomie festive et sécurité alimentaire. Voici ses recommandations pour un repas inclusif et serein.


Identifier les besoins alimentaires spécifiques

« Avant tout, il est primordial de bien comprendre les allergies ou intolérances de vos invités. Discutez directement avec eux ou, si besoin, consultez un professionnel de santé pour obtenir des précisions sur les aliments à éviter, les seuils de tolérance et les signes de réaction allergique », explique le Dr Amaris. En informant également toutes les personnes impliquées dans la préparation du repas, vous pourrez mieux sensibiliser votre entourage à ces enjeux.

Préparer un menu adapté et équilibré

Préparer des plats faits maison est une solution à privilégier pour réduire les risques d’exposition à des allergènes cachés, souvent présents dans les produits industriels. « Optez pour des recettes simples, comme des légumes rôtis ou des sources de protéines naturelles assaisonnées avec des herbes fraîches. Ces plats sont à la fois sains et faciles à adapter à différents régimes alimentaires », conseille le spécialiste. Il ajoute que limiter les mélanges complexes aide à mieux identifier les éventuels allergènes.

Vigilance sur les ingrédients et étiquetages

« Lire attentivement les étiquettes est crucial. Certains allergènes courants, comme le gluten, les arachides ou le lait, peuvent se cacher dans des additifs ou des produits inattendus, comme les bouillons cubes ou les sauces », prévient le Dr Amaris. Lorsque cela est possible, misez sur des produits frais et bruts, en évitant les aliments transformés qui peuvent contenir des traces d’allergènes.

Prévenir les contaminations croisées

L’utilisation d’ustensiles et de surfaces de travail séparés est essentielle pour prévenir les contaminations croisées. « Conservez les ingrédients allergènes dans des contenants distincts et nettoyez soigneusement vos plans de travail », recommande-t-il. Ces gestes simples peuvent faire toute la différence pour garantir la sécurité des convives.

Anticiper les urgences

Pour les allergies graves, telles que les risques d’anaphylaxie, il est indispensable de prévoir un plan d’urgence. « Assurez-vous que la personne concernée a son auto-injecteur d’épinéphrine à portée de main et que vous savez comment l’utiliser en cas de besoin. Gardez également les numéros d’urgence à disposition », insiste le Dr Amaris.

Des alternatives pour tous les régimes

Proposer des plats alternatifs peut transformer un repas de fête en une expérience inclusive pour tous. Par exemple :

  • Pour les intolérances au lactose, prévoyez des laits végétaux ou des fromages sans lactose.

  • Pour les personnes atteintes de maladie cœliaque, misez sur des aliments naturellement sans gluten, comme le quinoa ou le riz.

  • Pour les sensibilités digestives, évitez les aliments riches en FODMAP, tels que les oignons ou les légumineuses.

Créer une ambiance conviviale et rassurante

« Au-delà des précautions alimentaires, l’essentiel est de rassurer vos invités sur les efforts que vous avez fournis pour leur offrir un repas en toute sécurité », conclut le Dr Amaris. En créant une atmosphère chaleureuse et en étant à l’écoute, vous permettrez à chacun de profiter pleinement des festivités.

Avec un peu de planification et de bienveillance, il est possible de transformer un défi culinaire en un moment de partage inoubliable.

 

conseils pour bien manger pendant la période des Fêtes - Consultation DR Juan AMARIS spécialiste gastro-enterologie

Quelques conseils pour bien manger pendant la période des Fêtes avec la maladie inflammatoire de l'intestin et le syndrome du côlon irritable

Les repas des Fêtes peuvent être un défi lorsque l’on vit avec une maladie inflammatoire de l’intestin (MII) ou un syndrome du côlon irritable (SCI). Voici des recommandations pour passer cette période sans compromettre votre santé digestive.

1. Préparation en amont

Une bonne organisation est essentielle pour éviter les mauvaises surprises :

  • Planifiez vos repas : Prenez le temps de vous renseigner sur le menu à l’avance, surtout si vous êtes invité. N’hésitez pas à discuter avec l’hôte pour savoir quels plats seront servis. Si nécessaire, proposez d’apporter un plat que vous tolérez bien.
  • Identifiez vos déclencheurs : Chaque personne a des sensibilités alimentaires spécifiques. Notez les aliments que vous devez éviter, comme les aliments gras, épicés, les produits laitiers, les légumineuses ou encore certains fruits crus riches en fibres insolubles.

2. Aliments à privilégier

Pour éviter les inconforts digestifs, choisissez des aliments faciles à digérer :

  • Protéines maigres : Optez pour des viandes blanches comme le poulet ou la dinde, ainsi que pour des poissons maigres (cabillaud, merlu) ou des œufs. Ces sources de protéines sont bien tolérées et peu irritantes.
  • Légumes bien cuits : Privilégiez les légumes doux pour l’intestin, tels que les carottes, courgettes, courges ou patates douces. Assurez-vous de les cuire suffisamment pour les rendre bien tendres et retirez leur peau pour réduire les fibres irritantes.
  • Féculents faciles à digérer : Le riz blanc, les pommes de terre et les patates douces sont d’excellentes options. Évitez les céréales complètes, souvent plus difficiles à digérer.
  • En-cas sûrs : Si vous avez besoin de grignoter, optez pour des bâtonnets de légumes cuits, des crackers sans gluten ou des compotes de fruits sans sucre ajouté. Ces en-cas sont simples et peu irritants pour l’intestin.

3. Astuce pour les repas festifs

Les repas riches et variés des Fêtes peuvent surcharger votre système digestif. Adoptez ces stratégies pour limiter les désagréments :

  • Modération : Servez-vous de petites portions pour éviter les ballonnements et les crampes. Vous pourrez toujours vous resservir si vous tolérez bien le premier service.
  • Évitez les mélanges complexes : Limitez les plats trop composés ou les buffets où il est facile de manger un peu de tout. Préférez un repas simple avec un nombre limité d’aliments.
  • Mâchez lentement : La digestion commence dans la bouche. Mâcher lentement permet de mieux digérer et de réduire les risques de ballonnements.
  • Hydratation : Buvez de l’eau régulièrement pendant le repas. Si vous consommez de l’alcool, limitez-vous à un verre de vin blanc ou de champagne, qui sont souvent mieux tolérés que les alcools forts ou les cocktails sucrés.

4. Gérer les desserts

Les desserts sont souvent riches en sucres et en graisses, ce qui peut poser problème :

  • Options faibles en sucre : Privilégiez les desserts simples comme des fruits cuits (pommes, poires) ou des compotes maison.
  • Alternatives maison : Préparez vos propres desserts adaptés, par exemple une mousse au chocolat sans lactose ou un gâteau sans gluten. Cela vous permet de contrôler les ingrédients et d’éviter les produits irritants.

conseils pour bien manger pendant la période des Fêtes - Consultation DR Juan AMARIS spécialiste gastro-enterologie
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5. Prévention des crises

Quelques gestes simples peuvent éviter les crises pendant les Fêtes :

  • Probiotiques : Si vous les tolérez, les probiotiques peuvent aider à maintenir un bon équilibre intestinal. Consultez votre médecin avant d’en prendre.
  • Médicaments : Ayez toujours vos traitements à portée de main, notamment des antispasmodiques ou des anti-inflammatoires prescrits en cas de poussée.
  • Temps de repos : Après le repas, prenez le temps de vous reposer. Évitez les efforts physiques intenses et privilégiez une petite promenade pour stimuler doucement la digestion.


En suivant ces conseils, vous pourrez profiter des repas festifs tout en minimisant les risques de troubles digestifs. Gardez en tête que l’écoute de votre corps est votre meilleur allié. Si vous ressentez des inconforts, adaptez vos choix alimentaires en conséquence. Bonnes Fêtes ! ??

 

N'oubliez pas de consulter le Docteur Juan Amaris pour des conseils personnalisés en fonction de votre état de santé spécifique.

Consultez votre hépato-gastroentérologue le Dr Juan Amaris

Tout savoir sur les calculs biliaires

Les calculs biliaires (ou lithiase biliaire) se forment dans la vésicule biliaire, un petit organe situé sous le foie. Ces calculs sont des dépôts solides de substances présentes dans la bile, un liquide produit par le foie pour aider à la digestion des graisses. La lithiase biliaire est assez courante, mais tous les calculs ne provoquent pas de symptômes.

Types de calculs biliaires :

    1.    Calculs de cholestérol : Les plus fréquents, ils sont principalement composés de cholestérol cristallisé.
    2.    Calculs pigmentaires : Moins fréquents, ils sont constitués de bilirubine, un sous-produit de la dégradation des globules rouges.

Causes et facteurs de risque :

    •    Excès de cholestérol dans la bile : Lorsque la bile contient plus de cholestérol que ce que le corps peut dissoudre.
    •    Excès de bilirubine : Certaines conditions, comme la cirrhose ou des infections des voies biliaires, augmentent la quantité de bilirubine.
    •    Concentration excessive de la bile : Si la vésicule biliaire ne se vide pas correctement, la bile devient trop concentrée, favorisant la formation de calculs.

Facteurs de risque :

    •    Âge : Les personnes de plus de 40 ans sont plus à risque.
    •    Sexe : Les femmes, surtout celles qui ont eu plusieurs grossesses, sont plus susceptibles de développer des calculs.
    •    Obésité et surpoids.
    •    Diabète.
    •    Jeûne prolongé ou perte rapide de poids.
    •    Hérédité : Des antécédents familiaux de lithiase biliaire augmentent le risque.
    •    Certains médicaments (contraceptifs oraux, thérapie hormonale).

Symptômes :

La majorité des personnes atteintes de calculs biliaires sont asymptomatiques (pas de symptômes). Cependant, lorsqu'un calcul bloque un conduit biliaire, il peut causer des symptômes appelés "colique biliaire" :
    •    Douleur intense dans la partie supérieure droite de l'abdomen.
    •    Douleur irradiant vers l’épaule droite ou entre les omoplates.
    •    Nausées et vomissements.
    •    Jaunisse (si le conduit biliaire est bloqué).
    •    Fièvre ou frissons (en cas d'infection associée, cholécystite).


conseils pour bien manger pendant la période des Fêtes - Consultation DR Juan AMARIS spécialiste gastro-enterologie
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Complications possibles :

    •    Cholécystite :
Inflammation de la vésicule biliaire.
    •    Pancréatite aiguë : Inflammation du pancréas si un calcul bloque le canal pancréatique.
    •    Angiocholite : Infection des voies biliaires.

Traitements :

    •    Observation :
En l'absence de symptômes, il n'est généralement pas nécessaire de traiter les calculs biliaires.
    •    Médicaments : Certains médicaments (comme l'acide ursodésoxycholique) peuvent dissoudre les calculs, mais ils ne sont pas toujours efficaces et sont souvent réservés aux personnes qui ne peuvent pas être opérées.
    •    Cholécystectomie : Il s'agit de l'ablation chirurgicale de la vésicule biliaire, recommandée si les calculs provoquent des symptômes. Cette chirurgie peut être effectuée par laparoscopie (peu invasive) ou, dans des cas plus complexes, par une chirurgie ouverte.
    •    Lithotritie extracorporelle par ondes de choc : Utilisée rarement, cette technique vise à fragmenter les calculs à l'aide d'ondes de choc.

Prévention :

  
 1.    Alimentation équilibrée :
    ◦    Éviter les excès de graisses saturées et les régimes trop riches en calories.
    ◦    Privilégier les fibres alimentaires, les fruits et légumes.
    ◦    Réduire la consommation de sucre et d’aliments transformés.
    2.    Maintien d'un poids sain :
    ◦    Éviter les régimes draconiens ou la perte de poids trop rapide.
    ◦    Pratiquer une activité physique régulière.
    3.    Éviter les jeûnes prolongés : Manger régulièrement aide à maintenir la vésicule biliaire active.

    4.    Surveillance des traitements hormonaux : Les femmes prenant des contraceptifs oraux ou suivant une thérapie hormonale doivent être attentives au risque accru de formation de calculs biliaires.


Conclusion :

Les calculs biliaires sont souvent asymptomatiques, mais ils peuvent entraîner des douleurs et des complications graves. Une alimentation équilibrée, le maintien d’un poids sain et l’évitement des jeûnes prolongés peuvent réduire le risque de formation de calculs. En cas de symptômes, la cholécystectomie reste le traitement le plus couramment utilisé pour éviter les récidives et les complications.

N'oubliez pas de consulter le Docteur Juan Amaris pour des conseils personnalisés en fonction de votre état de santé spécifique.

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Tout savoir sur les différentes hépatites

Les hépatites sont un groupe de maladies caractérisées par une inflammation du foie. Elles peuvent être causées par divers facteurs, notamment des infections virales, l'abus d'alcool, des toxines, certains médicaments, ou des maladies auto-immunes.
Voici un aperçu des principales formes d'hépatite :

1. Hépatites virales
Les hépatites virales sont les formes les plus courantes et sont causées par des virus spécifiques. Il existe cinq principaux types d'hépatites virales :

    •    Hépatite A (VHA) :
    ◦    Transmission : Principalement par l'ingestion d'aliments ou d'eau contaminés par des matières fécales (voie féco-orale).
    ◦    Symptômes : Fièvre, fatigue, perte d'appétit, nausées, jaunisse.
    ◦    Pronostic : Généralement aiguë et auto-limitée; rarement chronique. La guérison est souvent complète en quelques semaines à quelques mois.
    ◦    Prévention : Vaccin disponible.

    •    Hépatite B (VHB) :
    ◦    Transmission : Contact avec le sang, le sperme ou d'autres fluides corporels infectés, souvent par des rapports sexuels non protégés, le partage de seringues, ou de la mère à l'enfant pendant l'accouchement.
    ◦    Symptômes : Similaires à ceux de l'hépatite A, mais peuvent être plus graves.
    ◦    Pronostic : Peut évoluer vers une infection chronique, augmentant le risque de cirrhose et de cancer du foie.
    ◦    Prévention : Vaccin disponible.

    •    Hépatite C (VHC) :
    ◦    Transmission : Principalement par contact avec du sang contaminé (partage de seringues, transfusions sanguines non sécurisées avant 1992).
    ◦    Symptômes : Souvent asymptomatique dans les phases initiales, ce qui conduit à une infection chronique dans 75-85 % des cas.
    ◦    Pronostic : Risque élevé de cirrhose et de cancer du foie. Traitement efficace disponible (antiviraux à action directe).
    ◦    Prévention : Pas de vaccin, prévention basée sur la réduction des risques (utilisation de matériel stérile, protection lors des rapports sexuels).

    •    Hépatite D (VHD) :
    ◦    Transmission : Similaire à celle de l'hépatite B, le virus de l'hépatite D ne peut infecter qu'en présence du virus de l'hépatite B.
    ◦    Symptômes : Aggrave les symptômes et l'évolution de l'hépatite B.
    ◦    Pronostic : Peut entraîner une forme plus grave de maladie hépatique.
    ◦    Prévention : La vaccination contre l'hépatite B protège également contre l'hépatite D.

    •    Hépatite E (VHE) :
    ◦    Transmission : Principalement par l'eau contaminée (voie féco-orale), plus fréquente dans les pays en développement.
    ◦    Symptômes : Similaires à ceux de l'hépatite A.
    ◦    Pronostic : Généralement aiguë et auto-limitée. Peut être grave chez les femmes enceintes.
    ◦    Prévention : Vaccin disponible dans certains pays, mesures d'hygiène pour prévenir la contamination.


conseils pour bien manger pendant la période des Fêtes - Consultation DR Juan AMARIS spécialiste gastro-enterologie
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2. Hépatite alcoolique

  
 •    Cause : Consommation excessive d'alcool sur une longue période.
    •    Symptômes : Douleur abdominale, jaunisse, nausées, fatigue.
    •    Pronostic : Peut évoluer vers une cirrhose, une insuffisance hépatique. La gravité dépend de la quantité et de la durée de consommation d'alcool.
    •    Traitement : Arrêt de la consommation d'alcool, prise en charge médicale, éventuellement transplantation hépatique en cas de cirrhose terminale.

3. Hépatite médicamenteuse (toxique)

  
 •    Cause : Réaction toxique du foie à certains médicaments, herbes médicinales ou substances chimiques.
    •    Symptômes : Varient selon l'agent en cause; jaunisse, fatigue, douleurs abdominales.
    •    Pronostic : Le pronostic dépend de l'arrêt rapide de l'exposition à la substance toxique.
    •    Traitement : Arrêt du médicament ou de la substance responsable, soins de soutien.

4. Hépatite auto-immune

    •    Cause : Maladie auto-immune où le système immunitaire attaque les cellules du foie.
    •    Symptômes : Fatigue, douleurs articulaires, jaunisse, prurit (démangeaisons).
    •    Pronostic : Peut évoluer vers une cirrhose si non traitée.
    •    Traitement : Immunosuppresseurs (comme les corticostéroïdes) pour réduire l'inflammation.

5. Hépatite non-alcoolique (stéato-hépatite non alcoolique)

  
 •    Cause : Accumulation de graisse dans le foie sans consommation excessive d'alcool (associée à l'obésité, le diabète de type 2, etc.).
    •    Symptômes : Souvent asymptomatique, peut causer fatigue et douleurs abdominales.
    •    Pronostic : Peut évoluer vers une cirrhose ou un cancer du foie.
    •    Traitement : Perte de poids, gestion du diabète, exercice physique.

Conclusion
Les hépatites couvrent un large spectre de maladies du foie avec des causes, des traitements et des préventions variés. Un diagnostic précoce et une gestion appropriée sont essentiels pour éviter les complications graves, y compris la cirrhose et le cancer du foie. La vaccination, notamment contre les hépatites A et B, et des mesures d'hygiène appropriées sont des moyens clés pour prévenir certaines de ces infections.

Prenez soin de votre foie, car il joue un rôle vital dans votre santé globale.
N'oubliez pas de consulter le Docteur Juan Amaris pour des conseils personnalisés en fonction de votre état de santé spécifique.

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